La gauche s’est ralliée au néolibéralisme sous alibi européen, défavorable au monde du travail. C’est le cas du PS dès 1983 ce qui s’est imposé à tous les autres. Il faut démythifier l’UE.
Entièrement d’accord. C’est Mitterrand et tous ceux qui, de par le monde, ont renoncé à être de gauche en se faisant appeler sociaux-démocrates (à commencer par la gauche Neo-zélandaise pionnière de ce renoncement).
La chute du mur de Berlin leur a ensuite ôté tout complexe de trahison et ils se sont montrés les plus enthousiastes à défendre le néolibéralisme qui sans eux n’aurait jamais pris pied.
Mais, un bon angle d’attaque pour démythifier l’EU (european Union en parfait globish, la langue effective de cette institution) c’est de rappeler que si, de fait, elle hait l’État et a pour seule politique de démanteler les administrations publiques et privatiser les sociétés publiques, elle n’est qu’une monstrueuse administration technocratique a-démocratique qui ne vit que des subsides des états. Tant qu’à faire, il ne reste plus aux sociaux-démocrates qu’à privatiser l’UE. Ce qui est le cas car, de fait, c’est le monde de la finance qui la dirige en retire tous les dividendes.
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1. Et elle est où la gauche ?, 24 janvier 2022, 11:11, par Cording1
La gauche s’est ralliée au néolibéralisme sous alibi européen, défavorable au monde du travail. C’est le cas du PS dès 1983 ce qui s’est imposé à tous les autres. Il faut démythifier l’UE.
2. Et elle est où la gauche ?, 2 février 2022, 03:12, par Olivier MONTULET
Entièrement d’accord. C’est Mitterrand et tous ceux qui, de par le monde, ont renoncé à être de gauche en se faisant appeler sociaux-démocrates (à commencer par la gauche Neo-zélandaise pionnière de ce renoncement).
La chute du mur de Berlin leur a ensuite ôté tout complexe de trahison et ils se sont montrés les plus enthousiastes à défendre le néolibéralisme qui sans eux n’aurait jamais pris pied.
Mais, un bon angle d’attaque pour démythifier l’EU (european Union en parfait globish, la langue effective de cette institution) c’est de rappeler que si, de fait, elle hait l’État et a pour seule politique de démanteler les administrations publiques et privatiser les sociétés publiques, elle n’est qu’une monstrueuse administration technocratique a-démocratique qui ne vit que des subsides des états. Tant qu’à faire, il ne reste plus aux sociaux-démocrates qu’à privatiser l’UE. Ce qui est le cas car, de fait, c’est le monde de la finance qui la dirige en retire tous les dividendes.